Protection UV : utiliser des lunettes de ski les jours ensoleillés

Hannah Neuhauser
10.10.2022

Le soleil rit et c'est le temps parfait pour une journée de ski, un véritable « jour de rêve ». Mais le beau temps s'accompagne aussi d'un facteur de risque : les rayons UV du soleil. Comment gérer cela et comment protéger au mieux tes yeux, tu le découvriras ici.

Pourquoi des lunettes de ski ont besoin de protection UV

Protection solaire même en hiver ? Pourquoi donc ? Oui, même en hiver, le soleil brille. Ainsi, des rayons UV nocifs peuvent également atteindre tes yeux. Cette exposition au soleil est particulièrement élevée en montagne, car la neige et la glace réfléchissent la lumière du soleil. Ainsi, lors d'une journée de ski, tu es en fait exposé à une double quantité de soleil.

Protection UV – Lunettes de ski pour la santé de tes yeux

La rétine des yeux peut percevoir des ondes lumineuses de longueurs comprises entre 390 et 780 nanomètres. La lumière ultraviolette, c'est-à-dire les rayons UV, a cependant une longueur inférieure à 390 nanomètres. Ainsi, nous ne pouvons pas voir cette lumière et ne pouvons donc pas bien évaluer le danger qui l'accompagne. Les rayons UV-B sont particulièrement dangereux. Tu connais probablement déjà leur effet si tu as déjà eu un coup de soleil. Dans l'œil, ils peuvent, en cas d'exposition trop fréquente, entraîner une conjonctivite et une opacification du cristallin. Il est donc important que tu fasses attention lors du choix de lunettes de ski à ce qu'elles protègent tes yeux de tous les rayons UV (UV-A, UV-B et UV-C).

Rayons UV – quelles lunettes de ski protègent

Lors du choix de tes lunettes de ski par temps ensoleillé, tu devrais prêter attention à la valeur VLT. Ici, tu peux lire ce que cela signifie exactement. En gros, cette valeur indique combien de lumière solaire passe à travers le verre d'une paire de lunettes de ski dans ton œil. Elle est classée en catégories (CAT.). Par temps de grand soleil, tu devrais donc opter pour des verres de catégorie CAT. 3 ou CAT. 4.

 

Crédits : Florian Dorn 

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